Le savoir faire de PR Maintenance sauve la sauce!

On le sait, une fermeture d’usine de transformation alimentaire par l’Agence canadienne d’inspection des aliments, ça coûte très cher. C’est ce qu’a appris à ses dépends une usine agroalimentaire en Ontario. Un inspecteur de l’ACIA, par un certain matin d’automne, se présente à cette usine de transformation  et d’emballage de produits alimentaires de mets vietnamiens. Le verdict tombe. Avis de non-conformité, présence de Listeria monocytogenes détectées. Fermeture complète de l’usine jusqu’à nouvel ordre. C’est-à-dire jusqu’à ce que l’ACIA confirme que les mesures correctives ont été apportées et que la salubrité des lieux réponde aux normes établies par la réglementation qui régit la qualité et la salubrité des aliments.

La Listeria monocytogenes, en plus de rendre les gens malades et même de provoquer le décès des personnes plus à risque, est tristement reconnue pour sa résistance à la congélation, au séchage, à de fortes concentrations de sel, aux nitrites et aux acides, contrairement aux autres bactéries pathogènes. Elle peut se développer à basse température, dans un milieu peu oxygéné et se disperser facilement dans l’air ambiant. Les sources de contamination sont multiples et peuvent se retrouver n’importe où.  Il faut porter une attention particulière aux réservoirs d’humidité potentiels qui représentent un hébergement 5 étoiles à sa prolifération : planchers et drains, plafonds et tuyaux, palettes de bois, tuyaux fissurés, pour ne nommer que ceux-là. D’où la difficulté accrue de l’enrayer. La complexité d’éliminer d’un environnement ce type de bactéries pathogènes ajoute aux coûts déjà faramineux impliqués lors de la fermeture d’usine de transformation alimentaire par l’ACIA ou la MAPAQ.

Une première entreprise d’entretien ménager est alors engagée pour exécuter l’assainissement des lieux et satisfaire les exigences de l’ACIA. Résultat : réouverture refusée, traces de Listéria monocytogenes détectées.

Une deuxième entreprise d’entretien ménager est alors convoquée pour exécuter une deuxième ronde de travaux d’assainissement. Résultat : réouverture refusée, traces de Listéria monocytogenes détectées.

PR Maintenance est appelée en renfort. Cette fois-ci cette troisième entreprise d’entretien ménager est spécialisée en assainissement d’usines agroalimentaires.   Les techniciens dûment formés ont nettoyé et assaini tous les points de contact, les plafonds, les planchers, les murs, les surfaces à plat, les hottes de ventilation et l’ensemble de l’équipement.

L’inspecteur de l’ACIA procède à sa troisième inspection : Résultat ? Réussite! Réouverture permise, tous les foyers de contamination ont été enraillés.

La morale de cette histoire est que malgré qu’une usine semble bien nettoyée, il n’est pas dit qu’elle soit salubre et blanche de toute source de contamination.

«C’est seulement après avoir bien préparé les lieux, identifié les sources de contamination, appliqué la bonne stratégie de nettoyage avec équipement et agents nettoyants adéquats et bien calibrés, le cycle de rinçage effectué, les tâches d’assainissement complétées et les tests scientifiques réalisés partout dans l’environnement contaminé, peut-on conclure que la Listéria monocytogenes aura été définitivement éliminée et que les lieux répondront aux exigences en salubrité. Les opérations pourront reprendre si, et seulement si, l’ACIA le permet. » d’expliquer Anthony Ailey, Directeur des opérations chez PR Maintenance Ontario.

Ce genre de réussite rejailli sur toute la société de PR Maintenance et c’est avec fierté que l’équipe, présente à la grandeur du Canada, collabore à ce genre de situation où toutes les énergies déployées à la formation des employés spécialisés prend tout son sens.