Saveurs d’une terre millénaire dans votre assiette à Montréal

Plus de 30 délicatesses dans l’assiette des Québécois

Montréal, le 21 octobre 2025 – Saveurs du Liban, une gamme de produits artisanaux organiques, issus de la terre et de la mer au nord du Liban est maintenant disponible à Montréal en un clic. En effet, les épicuriens et puristes alimentaires montréalais pourront désormais commander toutes sortes de produits aux bienfaits connus depuis la nuit des temps et dont les saveurs délicates et intenses, salées et sucrées sont uniques.

L’entreprise familiale basée au Liban et à Montréal est derrière une production éthique limitée, tout est cultivé dans le plus grand respect environnemental et mélangé selon des recettes ancestrales.

« Nous connaissions l’amour des Montréalais pour les bonnes choses, pour les aliments sains, purs, sans aucun ajout chimique, nous avons tout ce qu’il leur faut pour relever leurs plats, égayer leur matin, midi et soir! » déclare Lynn Karam, partenaire à Saveurs du Liban et fille du fondateur. « Les consommateurs avertis et conscients ne veulent pas acheter des produits ternis par des agents chimiques, par des guerres commerciales, par une production non éthique, etc. Les produits fins Saveurs du Liban sont conçus pour ceux qui aiment les belles valeurs et le goût vrai, pur, bon et sain » rajoute-t-elle. À noter que le grand-père de Lynn a construit l’une des premières stations de pressage d’olives à Amioun.

L’histoire de Saveurs du Liban est familiale et remonte aussi loin que l’âge des oliviers millénaires du village d’Amioun, dans la province du Koura au nord du Liban.

Les produits Saveurs du Liban sont fabriqués avec le plus grand soin par une équipe d’agriculteurs et d’artisans dont le savoir-faire passe de père et mère en fils et filles depuis plus de 1000 ans, l’âge moyen des oliviers du village. Le voyage à Montréal commence après une cueillette dans les champs ensoleillés, une récolte dans les marais salants, un triage méticuleux dans une cuisine centrale où des artisans mélangent, dosent, emballent, préservent et s’assurent que le goût final est inoubliable. 

« Nous ne produisons pas de façon commerciale, » déclare Mathieu Karam, directeur général de Saveurs du Liban au Canada et partenaire. « Pour vous donner un exemple, on utilise 15 kg de grenades pour une bouteille de 500 ml de mélasse de grenade. Il faut dix personnes pour récolter 2 kg de Zaatar. Les chutneys, les marmelades, l’eau de fleur d’oranger, en fait tous nos produits sont si proches du fruit, que si on ferme les yeux en y goûtant, on entend presque les cigales! » rajoute Mathieu.

 

L’or vert du Liban : l’huile d’olive

Lorsqu’on visite le village d’Amioun, des champs d’oliviers à perte de vue donnent le ton immédiatement. Avec plus de 2.5 millions d’arbres, dont certains ont plus de 1000 ans, on peut dire que l’huile d’olive coule dans les veines des habitants! Ces arbres produisent des olives nommées « Ayrouni » et chaque arbre donne environ 5 à 10 litres d’huile d’olive en fonction de son âge et de la pluviométrie. 

 

Quelques faits et chiffres

• La méthode traditionnelle de pressage à froid de l’huile d’olive au Liban se fait avec des meules en pierre utilisées depuis plus de 6 000 ans !
• Il faut trois personnes pour récolter à la main les olives de 15 arbres en une journée
• L’huile d’olive doit absolument être conservée dans un endroit sombre, sec, et dont la température oscille entre 17C et 23 C. Ne jamais placer le contenant sous l’évier, l’humidité va gâcher l’huile.
• Dans le temps l’huile d’olive était utilisée comme monnaie, comme produit pour embaumer les corps, et encore à ce jour pour hydrater la peau, les lèvres, les cheveux, les cordes vocales des chanteurs et acteurs, pour fabriquer du savon, certains produits médicinaux et même dans la peinture à l’huile.
• L’olivier est un arbre béni, il est mentionné dans la bible, ses branches sont symbole de paix.
• C’est un mythe qu’il ne faut pas cuisiner avec l’huile d’olive. Au contraire ! Il faut juste ne jamais chauffer la casserole avant de mettre l’huile et de s’assurer de ne pas la brûler. Les huiles d’olive raffinées conviennent à la friture en raison de leur point de fumée plus élevé et de leur saveur plus douce. Plus d’infos (en anglais)
• Cet article atteste que l’huile d’olive extra-vierge est bénéfique. Ce travail de synthèse s’appuie sur dix méta-analyses. Il conclut que la consommation d’huile d’olive, en tant qu’ingrédient unique, est associée à une diminution du risque de maladies chroniques non transmissibles : maladies cardiovasculaires, cancers du sein et diabète de type 2. Étude PubMed (en anglais)
• La différence entre vierge et extra vierge c’est l’acidité de l’huile.
• Le Liban produit entre 10,000 et 30,000 tonnes d’huile d’olive par an, selon les années. C’est moins que l’Espagne ou l’Italie.
• Les Libanais en consomment autour de 20,000 tonnes par an
• L’huile d’olive libanaise est particulièrement prisée pour son équilibre entre amertume, piquant et fruité, avec des arômes herbacés, surtout si elle est extra-vierge et fraîchement pressée. On y retrouve souvent des notes de tomate verte, d’herbe fraîche, d’amande crue ou de figue, qui reflètent les variétés anciennes cultivées dans des régions comme Amioun.
• Les huiles espagnoles tendent à être plus douces et rondes, les huiles toscanes sont souvent plus intenses, poivrées et amères, les huiles grecques, en particulier celles de Crète, sont fruitées, mais plus douces et moelleuses que les libanaises.
• L’huile d’olive a des propriétés antioxydantes Étude PubMed (en anglais) 
• L’huile d’olive contient des composés phénoliques, notamment de l’acide oléique, de l’hydroxytyrosol et des tocophérols, qui sont également liés à des avantages pour la santé métabolique, en particulier dans la gestion de la stéatose hépatique Étude PubMed en anglais

 

 

Marais Salants Nord du Liban – Crédit photo Hafez Jreij

L’or blanc du Liban : la fleur de sel

En allant vers Amioun au nord du Liban, on longe la mer Méditerranée et on tombe sur un charmant village côtier : Anfeh et ses grandioses marais salants étalés dans toute leur splendeur depuis plus de 3 000 ans. Leur origine remonte à l’époque phénicienne et ils ont été utilisés durant toutes les périodes : grecque, romaine, byzantine, puis ottomane. On y produisait du sel de manière artisanale en utilisant l’évaporation de l’eau de mer dans des bassins taillés dans la roche côtière calcaire. Aujourd’hui, quelques familles de la région perpétuent cette tradition multiséculaire, en récoltant le sel manuellement chaque été, entre juin et septembre.

Saveurs du Liban importe du sel directement de la mer à la table des Montréalais : Sel fin, gros sel et fleur de sel qui est fait à partir la couche supérieure du sel, celle que l’on récolte en premier. Ce sel libanais d’Anfeh est de haute qualité, propre, et contient naturellement des éléments équilibrés, aucun additif et n’a subi aucun raffinage supplémentaire. D’ailleurs, il sale plus et son goût est particulièrement agréable.

 

Quelques faits et chiffres

• Les salines d’Anfé datent de l’époque phénicienne, 1 200 ans avant J-C.
• Le sel est extrait manuellement de ces salines pour obtenir un sel extrêmement pur et bon, exempt de sel amer et de lourds cristaux de sel insolubles.
• On appelle ce sel libanais « la neige de la mer » en été. Un authentique patrimoine national et un trésor inépuisable fabriqué par la nature et à partir de la nature grâce au pompage de l’eau de mer dans les marais salants à l’aide de roues à air et de l’énergie du vent. Exposée au soleil, l’eau s’évapore ensuite.
• Le sel sera grossier si l’air provenant de l’ouest est humide, tandis que si l’air provient de l’est et est sec, le produit sera fin et pur.
• Avec l’île de Gozo à Malte, Anfeh possède les plus anciens marais salants du bassin méditerranéen.
• Les hommes qui pratiquent ce métier s’appellent des salins et à Anfeh, on est salins de père en fils. On dénombre un peu plus de femmes récemment.
• Dans les années 1950–1970, Anfeh fournissait autour de 50 000 tonnes par an, mais suite à la guerre civile, à l’importation de sel étranger sans taxes et à la disparition d’une partie des salines, la production est bien moindre.
• Aujourd’hui, il ne reste plus que 15 salines actives sur 44 à Anfeh.

 

 

 L’or noir du Liban : le Zaatar

Le thym devrait se retrouver sur le drapeau de tous les pays méditerranéens tant cette herbe sauvage a du goût, est versatile et relève tous les plats ! Le zaatar est ancré dans la culture libanaise. Il est consommé dès l’enfance, notamment au petit déjeuner avec du pain chaud et de l’huile d’olive, c’est la fameuse man’oucheh que l’on retrouve partout.

Perçu comme un aliment sain, associé à la vitalité et à la mémoire, le zaatar de Saveurs du Liban est un mélange de thym sauvage (ou origan, ou hysope), sumac moulu, graines de sésame grillées, du sel parfois et des noix de pins. Ce mariage est fait à la main selon des recettes anciennes transmises de génération en génération.

 

Quelques faits et chiffres

• Le zaatar remonte au 12e siècle, ce qui en fait l’un des mélanges d’épices les plus anciens de la culture levantine et du monde. Plus d’infos (en anglais)
• Le zaatar se récolte à la main, les feuilles sont ensuite séchées au soleil. La qualité du sumac fait une grande différence : il doit être rouge foncé, acidulé et sans additifs.
• Le zaatar du Liban est souvent considéré comme supérieur à celui d’autres pays pour plusieurs raisons liées à la qualité des ingrédients, la tradition artisanale, et le goût unique qui s’en dégage.
• Il pousse souvent dans des zones montagneuses non polluées, ce qui lui donne une concentration aromatique plus élevée.
• Le zaatar (mélange de thym, sumac et graines de sésame) est riche en antioxydants, source de vitamines A, C, E, K et B, fer, calcium, magnésium et zinc et contient des propriétés anti-inflammatoires, digestives et antimicrobiennes Étude PubMed (en anglais)
• Atténue le phénotype malin des cellules cancéreuses mammaires MDA-MB231 : Étude PubMed (en anglais)
• Rôle neuroprotecteur des huiles essentielles d’Origanum syriacum L. et de Lavandula dentata L. grâce à leurs effets sur les récepteurs AMPA : Étude PubMed (en anglais)

 

Zaatar Saveurs du Liban

 

Pour commander :

Site Web : https://saveurduliban.com
Instagram : https://www.instagram.com/saveurduliban/

Livraison gratuite à Montréal pour des commandes de 60$ et plus

 

À propos Saveurs du Liban

Fondée en 2022 à Amioun au Liban, avec une branche à Montréal, Saveurs du Liban est une entreprise familiale qui offre une trentaine de produits fins, organiques, cultivés dans le terroir libanais, préparés de manière éthique, dans le plus grand respect environnemental et mélangés selon des recettes ancestrales. La gamme de produits fins Saveurs du Liban comprend des épices, condiments, vinaigres, eaux de fleurs, mélasses, chutneys, huile, confitures et tartinades disponibles au gré des saisons. Tomates, pommes, olives, grenades, thym, cerises, tout est cultivé sans pesticides, cueilli à la main, mélangé sans produits chimiques, sans agents artificiels, sans émulsifiants, sans amidon et embouteillé dans du verre ou de l’acier inoxydable.

 

Photo principale : Champ d’oliviers Amioun, Liban – Crédit photo Saveurs du Liban