IA générative, travail alimentaire et risque existentiel

Voici le 3e essai de la série Sur l’IA générative et l’alimentation, où nous discutons de la façon dont l’IA peut remettre en question le marché du travail dans le secteur alimentaire et des risques potentiels découlant de l’IA.

Il existe un dicton dans la communauté de l’IA qui dit : « Vous ne serez pas remplacé par une IA, mais vous serez remplacé par une personne qui utilise une IA. » L’introduction de l’IA sur le marché du travail devrait entraîner une «augmentation de 7 %, soit près de 7 billions de dollars, du PIB mondial annuel sur une période de dix ans », selon Goldman Sachs. La majeure partie de cet impact concerne les tâches de travail intellectuel dont le résultat est numérique, mais dans l’industrie alimentaire, où le résultat est analogique, l’impact de la révolution de l’IA est plus nuancé.

Lorsqu’on examine l’éventail des emplois dans le secteur de l’alimentation, il est difficile de trouver un emploi qui sera entièrement remplacé par une IA générative. Mais tous les emplois sont constitués d’une large gamme de tâches, dont bon nombre peuvent être améliorées ou remplacées par l’IA. Dans les grandes entreprises alimentaires, les travailleurs peuvent se spécialiser et se concentrer principalement sur le travail intellectuel ou physique lié à l’alimentation. Dans les plus petites organisations, les professionnels de l’alimentation peuvent devoir passer constamment et de manière fluide entre le travail intellectuel et physique. Quoi qu’il en soit, toutes les tâches alimentaires relèvent d’un continuum entre la réflexion créative ou logique, et la forme physique ou numérique.

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Pour lire l’article complet, rendez-vous sur le magazine L’actualité ALIMENTAIRE de juin 2023 : https://www.calameo.com/read/006230908b84defe3783a?page=34