L’Institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels (INAF) de l’Université Laval reçoit une importante subvention pour le développement de ses plateformes de recherche

L’INAF est fier d’annoncer l’obtention d’une subvention du ministère de l’Économie et de l’Innovation (MEI) du Québec pour le développement de ses plateformes de recherche. Cet appui financier de 600 000 $ sur trois ans vise à soutenir la recherche technologique d’envergure dans des secteurs stratégiques et en émergence. 
 
Grâce à cette subvention, l’INAF ajoute à son équipe du personnel hautement qualifié pour l’utilisation de ses nouvelles infrastructures de calibre mondial qui comptent :

  • une plateforme métabolomique constituée de deux spectromètres de masse à haute résolution;
  • un service d’aide aux traitements des données de métagénomique du microbiote intestinal;
  • un modèle très sophistiqué M-Twin-SHIME, qui s’ajoute aux deux modèles de digestion in vitro;
  • cinq fermenteurs pour la simulation d’un microbiote colique;
  • une plateforme d’extraction des composés bioactifs à l’échelle pré-pilote;
  • de nouveaux équipements analytiques de composés alimentaires ou de composés métaboliquement actifs;
  • des moyens permettant d’actualiser ses outils de promotion et d’augmenter la portée de ses actions.

« La science et la technologie évoluent rapidement. Elles requièrent sans cesse du nouveau personnel hautement qualifié, surtout lorsqu’il s’agit de rendre l’utilisation des plateformes de recherche accessible aux chercheurs et à leurs équipes. L’aide de notre gouvernement facilitera ainsi la réalisation des travaux de l’INAF sur la nutrition et les aliments au Québec », souligne Joëlle Boutin, députée de Jean Talon.
 
« Cette subvention structurante permet d’ajouter plusieurs services analytiques à ceux déjà offerts aux scientifiques et aux partenaires de recherche de l’INAF. Grâce à cette subvention structurante, l’INAF augmente de façon significative l’expertise de son équipe de professionnels de recherche et s’enrichira de trois nouvelles ressources hautement qualifiées », mentionne Renée Michaud, directrice générale.